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Les mutilations génitales féminines (MGF) sont pratiquées dans le monde entier, malgré le risque d'hémorragie, d'infection et même de décès. Haneen, une egyptienne de 14 ans, milite pour la fin des MGF. Luca Zordan pour l'UNFPA
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Dans de nombreux endroits, les MGF et le mariage d’enfants sont liés. En Ethiopie, Sofia Hussen a connu les deux. Maintenant âgée de 18 ans, elle se sert de son histoire pour changer les choses. « Je suis un exemple vivant », a-t-elle dit. Luca Zordan
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Sharleen Cherop, une kenyane de 17 ans, a fui les MGF et le mariage d’enfants. « J'ai refusé », dit-elle, se souvenant comment elle s'est enfuie de chez elle. Elle a trouvé refuge dans une école et défend maintenant les droits de l'enfant. Luca Zordan
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Anissa, 15 ans, est une réfugiée syrienne en Egypte. Certains réfugiés ont adopté la pratique des MGF en Égypte, où elle est très répandue. Anissa travaille avec le groupe de jeunes Y-Peer pour aider à mettre fin aux MGF. Luca Zordan
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Au Burkina Faso, Latifatou Compaoré, 14 ans, a été inspirée par sa mère pour demander l'élimination des MGF. Elle a enregistré une chanson sur le sujet qui a été diffusée à la télévision et à la radio nationale. Luca Zordan
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En Ethiopie, Fatuma Abdu fait partie d’un groupe d'adolescentes soutenu par l'UNFPA qui traite le sujet. « J'enseigne à ma famille et aux autres membres de la communauté les causes et effets des MGF. » Luca Zordan
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Tabitha Marwa, une kényane de 15 ans, a échappé aux MGF avec le soutien de ses parents, mais la réaction violente de sa communauté a été sévère. Pour sa sécurité, elle a été envoyée dans un centre de secours. Luca Zordan
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En Egypte, Fatmah a appris les conséquences des MGF grace à sa mère. Aujourd'hui, à 13 ans, elle encourage les autres à rejeter la pratique. « J'ai convaincu ma sœur de ne pas exciser ses enfants.» Luca Zordan